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Les Parenthèses
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19 septembre 2007

J-264

Dommage que vous ne puissiez sentir l'odeur du feu de bois.... là à travers votre écran d'ordinateur...
Mon père vient de l'allumer pour préparer les grillades. Il savait qu'il me ferait plaisir. J'aime plus que tout ce moment convivial et si précieux. Et ce parfum unique... Tous autour du feu. Le rosé est frais, on discute, on échange.

Une heure plus tôt, alors que ma mère regardait mon sac et le trouvait "superbe", mon père lisait le Canard que j'avais acheté un peu plus tôt à la gare. Je lis un nouveau livre dans la serre, au soleil.

A la maison. Chez mes parents.
Tout est dit... Ma maison, elle est à Paris.

NB (1) : rassurez-vous, ça va pas durer hein! Comme dirait l'autre, c'est l'état de grâce! D'ici quelques jours, je vais amèrement regretter de ne pas être partie une semaine au club*med*.

NB (2) : Jeune homme : j'espère que tes parents vont bien.
Monsieur le chauffeur de taxi : j'espère que le petit A. et le reste de votre famille vont bien également.

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